« Le jour où j’ai appris à vivre » : un récit qui encourage à adoucir la vie de ceux qui nous entoure.

Jonathan, assureur et père séparé, travaille avec son ex compagne ainsi qu’un ami.
Un dimanche, alors que Jonathan se promène sur les quais de San Francisco, une bohémienne lui lit son avenir et lui annonce qu’il va mourir avant la fin de l’année.
Quelques jours après cette prédiction, Jonathan se rend compte que son quotidien n’a pas vraiment de sens à ses yeux et il décide de faire un break.
Il s’absente pour un temps de son travail et part au sud chez sa tante. Il y découvre un rythme de vie différent, plus décontracté. Ce temps de plaisir et de promenades sera également composé de discussions avec sa tante. Ces discussions l’amèneront à considérer différemment certaines de ses habitudes et à remettre en question la vie qu’il mène.
Lorsqu’il rentre de ses vacances, il se rend compte qu’il est possible d’embellir son quotidien et celui d’autres personnes en accomplissant des petits actes. En faisant cela, il sent qu’il se réaligne à ses valeurs et qu’il redevient lui-même.
Tandis qu’il se reconstruit une vie qui lui correspond, nous pouvons également suivre les malversations et les comportements nocifs d’autres protagonistes.
Le karma rétablira toutefois l’ordre des choses sur la fin de l’ouvrage.
Le jour où j’ai appris à vivre : Mon avis
Ce livre de Laurent Gounelle est très sympathique à lire, l’histoire est assez addictive. Suivre les actes de différents protagonistes nous pousse à continuer notre lecture et la morale finale satisfait notre valeur de justice.
Le parcours de Jonathan permet de nous poser également la question de l’adéquation de notre quotidien à nos valeurs. Nous avons également l’occasion de réaliser comme des actes très simples et accessibles à tous peuvent éclairer le quotidien de chacun. Un mot gentil, un petit cadeau peut illuminer la journée de celui qui le reçoit.
Et vous, votre vie correspond-elle à vos valeurs ?